Des chercheurs montréalais se consacrent actuellement à la conception d’un outil essentiel pour aider au diagnostic d’une commotion ou d’un léger traumatisme cérébral dont sont victimes des milliers de jeunes Canadiens qui jouent notamment au hockey ou au football [1]. Parmi les symptômes post-commotion cérébrale figurent des troubles d’ordre physique et émotif et des troubles du
Dans le cadre des célébrations liées aux célébrations du cinquantième anniversaire du programme de physiothérapie de l’Université Laval, trois conférences sont offertes au grand public. La première constituait une mise à jour extrêmement pertinente sur la commotion cérébrale. Présentée le 18 février dernier, elle abordait les mythes et réalités à partir des perspectives cliniques et scientifiques.
Au cours des dernières années, le sujet des commotions cérébrales a fait couler beaucoup d’encre, et il n’a pas fini de susciter les débats. Malgré la prolifération des études à ce sujet, il reste beaucoup de questions sans réponses et bien des pistes de solution à explorer. La prise en charge des commotions cérébrales dans
Il existe un lien clair entre le dommage répandu de la substance blanche et le déclin de la mémoire, des capacités d’apprentissage, de l’attention et de la vitesse d’exécution retrouvé chez les anciens athlètes sexagénaires ayant subi une commotion cérébrale au cours de leur vingtaine. C’est ce que révèle une vaste étude menée par Dr.
Hockey Québec songe à élargir l’interdiction des mises en échec aux joueurs de 14 à 17 ans. La décision pourrait être appliquée dès la saison prochaine et représenterait une réponse aux inquiétudes associées au dépistage et à la prise en charge des commotions cérébrales. Face aux évidences scientifiques démontrant les risques majeurs associés aux commotions cérébrales,
